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LE IIUSTIIE, ACTE l, SCENE II. 307 entete atête avec e utilitaire. Izlle ur tat nero re Dm..(a part.) (.es apostrophes tombent en plein qu il est le pere del enfant. lll·'i1Silql10|lI.ll sert cette sur moi ; car je 1’ai comblée de présents. supposition d enfant? `la scélerate S’l|II3gl[1B·l·CllB Aut. (a sa maitresse dans l’intérw·.) A propos, que jeserarsa dupe? S1 sa grossesse eût été vérita- s’il est ai la maison, il faut que je le ramène avec ble, s imagine-t-elle que _|e n’en eusse rien su , parce moi. qu’il n’y a que trois Jours que je suis revenu a Athè- Din. Holà ! arrête, Astaphie; un mot avant de nes de mon ambassade a Lemnos? — Mais quelle t’cn aller. est cette femmes ctestAstapliie, une des petites ser· Ast. Qui m’appelle? vantes avec qui ] ai eu aussi quelque douce intimité. Din. T u le sauras en regardant de ce côté. As!. Qui est·ce? SLEN E ll. Din. Quelqu’un qui vous veut beaucoup de bien. Ast. Donnez—nous-en donc si vous le désirez ASTAPIIIE, DINARQUE. tant. ’ ' Din. Volontiers; mais regardez de ce côté Ast. (à une esclave, daazsfintérieur.)Veillez bien As!. Ali! qui que vous soyez, vous me faites à la maison , et prenez garde d’y laisser pénétrer des mourir. gens, qui sortiraient plus chargés qu’iIs ne seraient Din. Arrête donc, méchante. entrés, et qui, venus les mains vides, sortiraient les As!. Allez , l’homme de bien , vous m’assommez. mains pleines. (:4urc d]J€(,‘l'tl]C’l¢?"S·) Je 0uDIJalS le MZllS je Cl`OlS que o`est Dina1·que?—— Oui vraiment. monde d aujourd lun, je sais la façon d’agir de nos Il va chez nous. jeunes gens. `Des que ces polissons arrivent chez les Dm. Eh bien! donnez-moi la main , et marchons courtxsanes, 1ls songent a exécuter les complots qu`ils ensemble. ont formés à la porte. Tandis quelun d`cux donne Ast. Je suis votre servante, et j’obéis à vos ordres, un baiser :1 la belle et prend ses ébats, que d’autrcs Din. Mais que fais-tu de bon? s’amusent à la bagatelle, ceux—ci, arlroits lilous, si ,1.st. Je me porte bien (prenant le bras de Dinar- I’on n`a l’œil sur eux, escroquent tout ce qu‘ils que), et je tiens quelqu’un qui se porte de même. trouvent à leur convenance. Ils détournent l’atten- Pour ton arrivée, je te souhaite un bon souper. tion par quelque plaisanterie, par quelque farce. Din. Bien obligé. Ils goûtent de tous les plats, comme les cuisiniers. Ast. Mais, de grâce, laissez-moi aller ou l’ou C’est que cela est Pusage. Nul des spectateurs, ici. m`env0ie. ne me taxera de mensonge. On se fait un plaisir, une Dm. Va; mais dis-moi un peu... gloire de pillcrles corsaires; mais nous savonsànotrc Ast. Que voulez-vous? tout prendre notre revanche avec nos voleurs. Ils Din. Quel chemin prends·tu?Qui vas-tuchercher. nous voient parfaitement quand nous enlevons, As!. Archive, la sage-femme. quand nous entamons leurs biens. Que dis-je? ils Din. Tu es une coquine., ü0Us les apportent eux-mêmes. As!. Comme à mon Ordinaire : c’cSt mon métier- Venturus peregre , eo num: commentsrst dolum, Pol, hœc vos me haud mentiri. Peperisse slmulat sese, ut me extrudat forns, Ibi est ibus pugnœ et virluti, de prœdonibus prœdam ca- Anque ut cum solo pergrœcetur milite : 90 pere. Eum esse simule! mîlîlüm PUEFO Pül|'P¤¤· _ At nos rursum lepide relerimus graliam luribus nostris; Quid isti suhposiîulll P¤€¤'¤¥¤ <>D¤$ Peësllmœl Namîpsi vident, quom eorum adgerimus bone; quin miam Milii verha retur darc~sese‘l‘ an me eensult um-,) ipgi adggpupf gd nOS_ Celufê SC polesse, gfûvitlà si l`0I'€l.? ' Dinh Mc mis quîdcm hœc verberut verbis . nam ego hum Nam ego Lemno advemo Athenas nudlqs tertius , 95 dom ndmngassp ,,5 · · bli ‘ i i. . . . . . . Èîâalllhàlâ `SSS ÈÉDÃJ'?°AJÃ’pÉÈî. Èstuanaiiuia. ««~#·n§g;u·:g;g;;;;¤ ·¤¤l · ESO wm ·vS¤¤= · si ¤·>¤=· ml- · - ' "l i ' i . . ' . . CIIID 2.1 QUOQUC Ulëllïl ml l fllll Cûûmûfc (Im D"'. Haus · mnnodllm ’ Aswphlum ’ prlusquam abit du- Qui revocat? Din. Scies; SCENA SECUNDA· ltespice huc. As!. Quis est? Din. Vobls qui multa bone asse It. A A. D to, 'csse vis. , ASTAPHmM• DlNÀRCHUS' Dinïëaxo îerurît, rïpice huc modo. As!. lo! enicas me , . m` , ' l . Asl. Ad forets auscultato, adque serve has tedexs, D_ âmlâîa q:::: S GS mo Ne quis adventor gravier abeat quam adveniat; |00 m' se * d_' Neu qui mnnus adtulerlt slcrtleismtro ad nos. Ãfî I• °lfmnF_• °v issus *5- t·_ 'd D_ H I f Gravidns foras exportet : gnovi ego hominum mores , Dinarchusue illlc est. alque ls es · Il a H05- un- il Pr Eta aune aduleseenteis morati sont zquin el Wüîm màmlm • ¤lt;¤¤•€¤· d_ _ _ D_ Ut simitu adveniunt ml soorta congeroncs , Gradere. Act. Tibl îervio ntque au lens sum impur:. ln. rgmgulta suut oonsilia , quando intro ndveneruntz W5 T¤l¢ llllld ôslî · ' Y d _ Unus eorum aliquis osculum amicm usquî opgerit. · Astgïüqo et vnhdum teneo . pereprc quom a vems, mms §||‘ B t od gunt, suntcœtcricep ae" ; _ _ _ A _ âîrtiddamluâugmpiun seadservare, obludunt , qui custo- Din, Beqlgze (l|(ÈlS· AS!. At CIIIID , nmubo, sine me ire qlq?) d iussi . un. as. U I _ · _ obleclgit per joculum et ludum; de nustm szepe cdunt, Sed quid ais? dsl. Quid v¤s?Dm Istic, quo iter mceptas, quw qui est ? quem arcessis? As!. Archivam ' Fnrtores faclunt. Fit, pol , hoc : et, pars speclutorum, sci- Obstetricetn. Din. Mala Femina es. As!. Solens sum; ea :·.t us , LO diseuplma. M.