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PHILOXÈNE
La douceur d’un destin qu’à tort vous m’enviez,
La voir au trône, Araxe, et mourir à ses pieds.
ARAXE
Quoi, je consentirais…
PHILOXÈNE
C’est trop vous en défendre.
Adieu ; moi-même au Roi je saurai tout apprendre,
Et mettre le secret hors de votre pouvoir.
ARAXE
Hélas ! À quel aveu forcez-vous mon devoir !