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À MADAME LA COMTESSE DE FIESQUE.


MADAME,


L’approbation dont il vous a plu vous montrer si libérale envers ce poème, m’est trop glorieuse pour la tenir plus longtemps secrète, et j’ose rendre public le remerciement que je vous en dois, afin d’apprendre au public que vous me l’avez donnée. Ainsi je satisfois tout ensemble mon devoir et ma vanité, et je souhaiterois pouvoir faire connoître à toute la terre combien je vous suis redevable, afin que toute la terre