Page:Suzanne de Callias La malle au camphre 1919.djvu/199

Cette page n’a pas encore été corrigée
— 189 —

N’importe ; il a pris ce prétexte-là, à ce qu’il paraît, pour lui dire qu’il en avait assez ; cette femme qui lui fait des scènes toute la journée ; qui lui permet à peine de dîner dehors sans elle… — Et qui n’est pas du tout faite pour comprendre un artiste comme Barral… »

Je gagne le vestiaire d’un pas léger. J’en ai assez entendu ce soir…