IV. Du regard zénithal qui avait embratt^ le pilait Colette, le Père reconnut que la demeure <tait faite telon ton dcttein, et l’accepta.
L’image, que ta prunelle divine en avait prite, ton vreu la projeta devant l’atiemblée de» dieux, mi.ilM»’ Inîmiiabic, épure aux trait* de flamme.
Et Zefii le Père, pour que luut U vissent, la fit apparaître, comme un jouet divin, <ur les deux bra< il’Ap’itlnn irmlus vers lui.
V. Alors, lui-même, en paroles harmonieuses et puissantes, comme les colloques de l’insondable ciel avec le profond océan, la dédia :
« O mon Oljrmpe,
Séjour de ma pensée.
Œuvre de mon art et d’une idée préférés.
Superbe espace.
Je t’appelle mon Ordre, — et tu j es dédié I
VI. < Que toute chose soit comme elle ett, — an rajon d’éternité. Que tout ait ici sa beauté, — il jr a sa mesure.
Que toute vie s’accomplisse en ce lieu, et s’y connaisse elle- même la splendeur de la réalité I
VII. • Inclinez vous, met dieux !
Voilà la demeure que je veut ai faite : nn miroir où chacun de vot détirt t’apercevra parfait dant l’acte.
Les proportions parfaites, et le divin équilibre, ô mes fils et vous mes filles immortelles, vous sourient : réfléchissez ce sourire : c’est lui qui donne l’éternelle vie.
Entrez dans l’harmonie,
Epelez vous, mots ineffables de l’ordre, -
Contciences de l’ordre, tentez vout enfin \otic uivinite, me» divitiet? Et que vous êtes le rythme unique de mon esprit?.. •
L’allégrette ttellaire des dieux, tur le teuil, t’inclina devant ton dettin magnifique, et répondit p.ir un mutmure d’ivresse, tel le table de* sphères ; Oui ! oui !
Et le Père, alors, précipita dans les abimes, les ouvriers gigantesques de l’Olympe, — les tristes Titans, pitoyables puissant, travaillés d’insomnie.