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défends, * vojigtur, de l'ombre qui vient ■'• '• nm,/., rt du nuige qm. pastaot »ur le ciel, a fait l'onbre »ur le pi'

Je croyais lei aimer ; cl ma craioie le» aime plu» encore..

U VOTACIt-t.

VIII. Ainti, je te fais peur?

La jeune MiRE. Tu es plus doux que la peot^e. .

Le tOTACEUR.

Je suis plus faible qu'elle. . Mais ne crains rien.

La jeune MiRE.

Pardonnez aui angoisses des mires. Elles veillent pour elles.

Enfans, vous riez ? Et vous vous caressez contre la poitrine de votre nourrice ?. .

Avant de les avoir, je les aimai .

Et maintenant chaque jour nouveau qui se lève, me découvre que je les aime.

Le votaoeur. Tu as souffert pour eui.

La jeune Mias. Et ils m'ont ri.

Ll VOTAOEUR.

Ils ont ri pour toi, veux tu dire.

La jeune mIre.

Ah I ne le croyez pas. Combien, pour eux aussi, |'ai eu de joie..

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