Mon ime \e liquéfie «ar U hou(k« puante, et daoi le lit brûlant de l'agonie.
Et )e flotte ^ur cette langue h lu lalivr cuisante.
V. Les forme» en fusion bouillent; les peoMn, de toutes parts, coulent comme de la lave,. .
N La fi^Yre mord les angles du cerveau; le délire bat sous les
tempes. .
La pie mère crève sur le brasier.. Le» chauve»-$ourii de fer tortent des ténèbres éblouies de li cervelle et frappent hideusement les frises des cheveux ; —
La huette des flamml■^ bourdonne dans les oreilles.
VI. Et tout vire dans le vertige hagard de ce qui n'a plus de nom ni de figure. . Ah, dégoôt, saveur du vide, rançon de l'acte.
Mais le pire, le pire sort du fourreau de l'ime dévorée : Des poignards rouges de sang, k la pointe noire de poisons accumulés : les pensées de la mort furieuse.
VII. Les idées de la mort se dreuent dardées en reptiles : tuer et se tuer. . , tuer encore et se tuer. .
Les fumées du meurtre, et l'encens de la mort montent en tour* nojfant de la cave où le spleen se tord et sue. . Je crie dans les chaînes. Titan.
Et je suis un sépulcre pensant, préparé pour la mort.
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