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Vittorio Accoramboni, Beatrix Cenci, etc., 8 ou 10 volumes in-folio.

En mai 1836 il revint à Paris par un congé de M. Thiers qui imite les boutades de Napoléon… B… arrangea la Vie de Nap… du 9 novembre 1836, à juin 1837…

(Je n’ai pas relu les pages qui précèdent, écrites de 4 à 6 ; le dimanche 30 avril, pluie abominable, à l’hôtel Favart, place des Italiens à Paris.)

B… a fait son épitaphe en 1821.

Qui giace
Arrigo Beyle Milanese,
Visse, scrisse, amo
Se n’andiede di anni…
Nell
18…

Il aima Cimarosa, Shakespeare, Mozart, Le Corrège. Il aima passionnément V… M… À… Ange, M… C…, et quoiqu’il ne fût rien moins que beau, il fut aimé beaucoup de quatre ou cinq de ces lettres initiales.

Il respecta un seul homme : Napoléon.

Fin de cette notice non relue (afin de ne pas mentir).


(Au verso du dernier feuillet) :

Notice sur Henry Beyle, à lire après sa mort, non avant.