Page:Stendhal - Souvenirs d’égotisme, 1927, éd. Martineau.djvu/189

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rapsodie larmoyante qui attendrit les jeunes femmes les plus distinguées du faubourg Saint-Honoré (ce qui a désenchanté l’une d’elles à mes faibles yeux, vers 1827).