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Pages.
    et le directeur. Dans la crainte de recevoir les malades trop bien portants, on ne les reçoit qu’après leur mort. — Réflexions de Marthe. — Les hommes jugés par le docteur Manomane. — Les fous de l’an trois mille. — Les ménageries et le jardin botanique 
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§ XIV. — Un cimetière à la mode. — Voitures établies en faveur des morts. — Bazar funéraire. — Système d’impôts. — Épitaphes-omnibus. — Un courtier mortuaire 
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§ XV — Observatoire de Sans-Pair. — Comment M. de l’Empyrée aperçoit dans la lune ce qui se passe chez lui. — Réunion de toutes les Académies. — Utilité de la garde urbaine pour les droguistes, les passementiers et les marchands de vin. — Ce qu’il faut pour constituer des droits à un prix de vertu 
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§ XVI. — Mémoire d’un académicien de l’an trois mille sur les mœurs des Français au dix-neuvième siècle. — Comme quoi les Français ne connaissaient ni la mécanique, ni la navigation, ni la statistique, et mouraient tous de mort violente par le fait des notaires. — Le gouvernement chargé de composer des épitaphes pour les célèbres courtisanes. — Costume des rois de France quand ils montaient à cheval. — Les noms des auteurs étaient des mythes. — Singulier langage employé dans la conversation 
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§ XVII. — Le Grand Pan, journal universel, renfermant tous les journaux et plusieurs autres. — Trois articles contradictoires sur une seule vérité. — Administration du Grand Pan. — M. César Robinet, entrepreneur général de littérature en tous genres. — Machines à fabriquer les feuilletons. — M. Prétorien, directeur en chef du Grand Pan. — Une entreprise littéraire avec primes. — Blaguefort obligé d’acheter la critique du livre qu’il veut publier 
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§ XVIII. — La bibliothèque nationale et son catalogue. — Utilisation de la promenade. — Ce que c’est qu’un artiste à Sans-Pair. — Portraits à la grosse, avec ressemblance garantie. — M. Illustrandini, statuaire de l’univers. — M. Prestet, peintre du gouvernement, à pied et à cheval. — Opinion de Grelotin sur la peinture 
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§ XIX. — Réforme dramatique grâce à laquelle la pièce est devenue l’accessoire. — Transformations successives d’un drame historique. — Première représentation. — Une loge d’avant-scène. — Analyse de Kléber en Égypte, drame en cinq actes et à plusieurs bêtes 
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§ XX. — Ce que c’est qu’une réunion choisie. — Le grand critique, le moyen critique, le petit critique. — Comme quoi l’homme qui a fait le plus de veuves et d’orphelins est ce qu’on appelle un homme de cœur. — Marcellus le Piétiste. — Conversation de gens bien nés. — Séance de la société des femmes sages — Discours de Mlle Spartacus pour appeler les femmes à la liberté 
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§ XXI. — Correspondance-omnibus de M. Atout. — Constitution politique de la république des Intérêts-Unis. — Circulaire électorale de M. Banqman. — Chambre des envoyés de la république des Intérêts-Unis. — Crise ministérielle à propos de moules de boutons. — Magnifique discours de Banqman sur la question de savoir si l’armée aura ou non des gants tricotés. — La chambre vote tous les articles de la loi et rejette l’ensemble 
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§ XXII. — Un missionnaire anglais. — Un bal public qui fournit les danseuses. — Ce qu’on appelle l’Église nationale. — M. Coulant expliquant sa religion à Narcisse Soiffard 
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Conclusion 
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FIN DE LA TABLE.

PARIS. — TYPOGRAPHIE DE SCHNEIDER ET LANGRAND, RUE D’ERFURTH, 1.