de mort ceux qui agissaient contrairement à la raison ;
les fauteurs de rébellion furent exterminés.
Par ses vertus guerrières il anéantit les cruels et les révoltés ;
par ses vertus pacifiques il rendit le calme aux innocents ;
les cœurs du peuple lui furent tous soumis.
Sa bonté apprécie la valeur et le mérite ;
ses faveurs s’étendent jusqu’aux bœufs et aux chevaux ;
ses bienfaits ont enrichi le sol de la terre[1].
(2e strophe) Le souverain empereur a déployé son prestige ;
sa vertu a absorbé les seigneurs ;
le premier, il a établi uniformément un grand calme.
Il a renversé et détruit les remparts intérieurs et les murs extérieurs[2] ;
il a ouvert des passages dans les barrages des fleuves ;
il a aplani et supprimé les difficultés et les obstacles.
La face de la terre étant bien réglée,
la multitude aux cheveux noirs ne fut pas accablée de corvées ;
dans le monde tous furent (sagement) gouvernés.
Les hommes se livrèrent avec joie à la culture des champs ;
les femmes vaquèrent avec soin à leurs occupations ;
toute chose eut son rang.
Sa bonté s’est étendue sur tous les patrimoines ;
pour longtemps, tous sont venus dans leurs champs ;
il n’est personne qui ne soit tranquille chez soi.
La foule de ses sujets, célébrant sa gloire,
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