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LES JOYEUSES ÉPOUSES DE WINDSOR.

page.

— Eh bien, quel remède ? Fenton, que le ciel te tienne en joie ! — Ce qui ne peut être évité doit être accepté.

falstaff.

Quand les chiens chassent la nuit, toute proie leur est bonne.

mistress page.

— Soit, n’y pensons plus, maître Fenton ! — Que le ciel vous accorde maintes, maintes journées de bonheur ! — Mon cher mari, retournons tous à la maison, — et allons achever cette plaisanterie autour d’un feu de campagne, — sir John comme les autres.

gué.

— Qu’il en soit ainsi !… Sir John — vous aurez encore tenu parole à maître Fontaine, — car il couchera cette nuit avec mistress Gué.

Ils sortent.


fin des joyeuses épouses de windsor.