qu’à ce que nous venions l’y trouver. — Beaux seigneurs, prenez congé du roi, et partez sans répliquer. — Adieu, mon souverain.
— Adieu, mon Hector, ferme espoir de mon Ilion.
— En signe de fidélité je baise la main de Votre Altesse.
— Loyal Clarence, sois fortuné.
— Courage, milord !… Sur ce, je prends congé.
— Et ainsi je scelle ma foi, en vous disant adieu.
— Cher Oxford, bien-aimé Montague, — et vous tous, encore une fois, adieu ! Soyez heureux !
— Adieu, chers lords : rejoignons-nous à Coventry.
— Je vais me reposer un moment ici au palais. — Cousin d’Exeter, que pense Votre Seigneurie ? — Je crois que les forces mises en campagne par Édouard — ne sont pas en état de résister aux miennes.
— Il est à craindre qu’il n’entraîne les autres.
— Ce n’est pas là mon inquiétude ; ma conduite m’a fait assez connaître. — Je n’ai pas fermé l’oreille aux demandes du peuple, — ni ajourné ses suppliques par longs délais ; — ma pitié a été pour ses blessures un baume salutaire ; — ma bonté a tempéré l’excès de ses maux ; — ma merci a séché ses larmes qui débordaient ; — je n’ai pas convoité ses richesses ; — je ne l’ai pas accablé