Où les oiseaux chantent, hey ding ! ding ! ding !
Tendres amants aiment le printemps.
Entre les rangées de seigle,
Hey ! ho ! hey nonino !
Les jolis campagnards se couchèrent
Au printemps, au joli temps nuptial, etc.
Sur l’heure ils commencèrent la chanson,
Hey ! ho ! hey nonino !
Comme quoi la vie n’est qu’une fleur,
Au printemps, etc.
Profitez donc du temps présent,
Hey ! ho ! hey nonino !
Car l’amour se couronne de primeurs.
Au printemps, etc.
En vérité, mes jeunes gentilshommes, quoique les paroles ne signifient pas grand’chose, le chant a été fort peu harmonieux.
Vous vous trompez, messire ; nous avons observé la mesure, nous n’avons pas perdu nos temps.
Ma foi, si ; je déclare que c’est temps perdu d’écouter une si sotte chanson. Dieu soit avec vous, et Dieu veuille amender vos voix !… Allons, Audrey.
— Crois-tu, Orlando, que ce garçon — puisse faire tout ce qu’il a promis ?