Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Hugo, Pagnerre, 1872, tome 8.djvu/174

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
170
LES DEUX GENTILSHOMMES DE VÉRONE.

avant, Protée ! Il faudra pour pénitence que vous entendiez — la révélation de vos amours. — Cela fait, le jour de nos noces sera le jour des vôtres : — n’ayons qu’une même fête, qu’une même maison, qu’un même bonheur.

Ils sortent.


fin des deux gentilshommes de vérone.