— Fais du feu et donne à manger à ces pauvres gens ; — la nuit a été turbulente et orageuse.
— J’en ai vu beaucoup ; mais jusqu’à présent je n’ai jamais enduré — une nuit pareille à celle-ci.
— Votre maître sera mort avant votre retour ; — rien de ce qui peut être administré à une créature humaine ? — ne pouvait le sauver.
Remets ceci à l’apothicaire, — et dis-moi quel en est l’effet.
Bonjour, monsieur.
— Bonjour à votre seigneurie !
Messieurs, — pourquoi êtes-vous levés de si bonne heure ?
Monsieur, — nos logis, situés isolément sur la mer, — ont été ébranlés comme par un tremblement de terre ; — il semblait que les plus grosses poutres allaient se briser — et tout s’écrouler ; la surprise et la frayeur — m’ont fait quitter la maison.
— Voilà par quel motif nous vous dérangeons de si bonne heure ; — ce n’est nullement par ardeur matinale.
Oh ! vous avez raison.