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nid ; quoi que tu fasses, tu n’échapperas jamais au monstre, tu ne te soustrairas point au pauvre chenapan, et cela quand tu fuirais jusqu’au Japon, quand tu te sauverais en Chine !

» Car partout où ton chemin te conduit, mon esprit siège dans ton cœur ; c’est là qu’il rêve ses rêves insensés, c’est là qu’il tente ses sauts alertes.

» Entends-tu ? Le voici qui fait de la musique, et ses bonds, comme ses accords, ont un tel charme, que la mouche qui se promène dans les plis de ton rideau s’arrête, ravie, et bondit, elle aussi, de plaisir. »