Trop de bonté, je vous jure.
Mais à voir votre figure.
Votre ton, votre tournure,
Et ces attraits ingénus…
Si ce mariage coûte,
Ce n’est pas à vous, sans doute,
Que ça doit coûter le plus.
Qu’est-ce qu’il dit donc ?
Il a raison. Apprenez, monsieur, que, quand on est riche, comme vous l’êtes, il faut partager avec ceux qui n’ont rien.
Un bon moyen ! Pour devenir comme eux ! Ne semble-t-il pas, parce que j’ai fait une belle succession…
Oui, monsieur.
Alors, ce n’est pas la peine que mon oncle soit mort ; s’il faut que tout le monde vive à ses dépens, autant qu’il vive lui-même.
Allons, finissons, ne voyez-vous pas que j’attends ?
C’est juste, voilà monsieur qui, en sa qualité d’alcade, est là à attendre. (À tous les gens de la noce.) Eh bien, à tantôt, nous vous attendrons.