Hein !… qui vient là nous déranger ?… (A Marguerite.) Tu vois bien déjà !…
Scène IV.
Que la charrette attende quelques minutes à la porte de l’habitation… Bras-de-Fer et Laramée veilleront sur mes nouvelles pratiques ! (Entrant.) Que diable ! on peut bien, par la chaleur qu’il fait, se rafraîchir d’un doigt de vin… il y en a ici… et du bon ! du vin de France !
A votre service, monsieur Renaud. (A Marguerite.) C’est monsieur Renaud, ancien garde-chiourme, surveillant des détenus du fort Sainte-Rosalie… et qu’on a surnommé Tapefort !
Il faut cela dans la position que j’occupe. (Faisant le geste d’appliquer des coups de canne. — A Gervais qui lui verse un verre de vin.) Merci, mon voisin ! Car si vous saviez (Faisant le geste de battre.) combien l’ouvrage est rude pour nous…
El pour eux ?…
C’est leur état ! (A Gervais.) A votre santé !
A la leur !
J’avais déjà bien assez de monde à gouverner, lorsqu’est arrivée ce matin au fort Sainte-Rosalie, une dépêche annon-