Page:Sauvage - Le vallon, poèmes,1913.djvu/216

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
204
le vallon


LXVII




Ce soir j’ai ri, vois-tu, d’un rire qui s’écoute,
Pour rire, pour sentir entre mes froides dents
Cette gaîté qui tombe en perles goutte à goutte
Avec un tremblement.