EXEMPLES DES PHONEMES A ET A DANS LE SLAVO-GERMANIQUÏ.
��fâgus V, h* -ail. huocha.
câligo, KsXiç si. kalû. F.
ILiaKUJV si. makù [v. h^-all.
mâgo^.
nâres, nâsus lit. nôsis, anglo-s. nôsu (cf. si. nosùj V. h^-all. wasa).
��irâxuç norr, bôgr.
râpa V. h* -ail ruoba, lit.
ro/?e [si. répa], suâvis, abùç germ. svôija-: norr.
soetr, V. h* -ail.
SMozi (F. m^
361).
��A et À terminent la racine:
gha: xn-Mn (Xâ-Xà)
ta : tâ-bes
bhâ: fâ-ri, (pâ-|ai
là : là-trare
stâ: status, ë-(JTQ-v etc.
{s)ta: dor. xâ-Tâu)^
��germ. go-men-, lit. go-murys «pa-
latum». F. si. ^a-y^ [anglo-s. pâven], si. fca-;/o. si. Za-y'^, lit. Zô-JM [mais en gotique
/am = */ê(i)a]. si. sfa-nq, lit. s%m ; got. sto-min-,
sta-da- [v. h'^all.. sfâm, s^êm]. si. ta-jq, ta-tï, ta-jïnù.
��La racine est augmentée d'une dentale, par exemple dans:
��pâ-t: TTa-T-éo|Liai, pâ-s-tor lâ-(t): Xd-uj «vouloir» sa-t^: sà-t-ur, sà-t-is
��1. Ahrens H 144.
��got. fod-jan^, si. pa-s-tyrï. got. la-^-on, la-pa-leiko. F. got. sa-d-a, so-p-a- ; lit. sô-t-us (si.
Au slave <a>ï *en cachette», tajînû «secret» cf. le thème indien tâyû «voleur» d'où aussi triu-aioç «vain, sans résultai» (Poit, Wurzelwôrterb. I 100). — 2. fodjan suppose une racine contenant a, et c'est à ce titre-là seulement que nous le citons; il est bien probable en effet, si nous considérons le mot fodjan lui-même, que son o répondrait à un \u, non pas à un â du grec. Cf. chap V, § 11. — 3. La racine simple se trouve dans le grec ï\u\xt\ = *no|Liev (Curtius, Verl). II 69).
Parmi les mots plus isolés nous nous bornerons à citer:
(pater^ Traxrip got. fadar; cf. § 11.)
mater, ludirip v. h'^-all muotar, si. mati, lit. mote.
f rater, qppdirip got. bro^ar, si. hratrû, lit. broterelis.
Le A du suffixe des féminins s'observe commodément aux cas du pluriel dont la désinence commence par une consonne: got. gibom, lit. mergôms, si. zenamû. Placé dans la syllabe finale, il a subi, comme on sait, diverses altérations. Au nominatif sin-
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