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je n’y vis rien de surprenant ; car, dès l’instant où j’avais appris l’état antérieur de la malade, son affection avait perdu à mes yeux le caractère de singularité qui me l’avait fait suivre d’abord avec tant d’intérêt. Alors je n’apportais à son traitement rien de plus que les soins dus à une maladie ordinaire et bien connue.

» Mais, monsieur, notez bien ceci. Quand, après un certain temps, je remarquai que la guérison semblait dépasser le succès que j’en avais attendu, quand je vis que les facultés intellectuelles ne semblaient pas avoir conservé d’autres signes pathologiques que ceux d’une fai-