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avait quelque chose de triste et d’intéressant, s’efforçait, avec un vieux domestique, d’entraîner le héros de l’aventure jusqu’à un remise qui les attendait au bas des degrés. Mais Horace tremblant, égaré, ne pouvait plus se soutenir, et sans l’aide du concierge Fonvielle, mademoiselle Cazalès et le bon Mathias, n’eussent pas réussi à le transporter plus loin.

Horace passa la nuit dans des convulsions assez inquiétantes. Le matin il se sentit plus calme. La première personne qu’il reconnut à son chevet fut l’abbé de P… Il y avait une expression d’intérêt si sincère sur le front rigide du jésuite, que le malade lui tendit la main et le