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sous peu de jours Denise entrerait au couvent. Maurice se rappelait bien la répugnance de Lazare pour les dévotes et les religieuses ; mais il ne la partageait pas, bien qu’il fût aussi peu croyant que son siècle. Il avait passé sa vie dans une famille extrêmement pieuse, et respectait par habitude et par amitié des préjugés qui ne l’avaient jamais froissé. En outre, il avait pu se convaincre de l’absence totale de raisonnement qui mettait Denise à couvert des impressions qu’on voudrait lui donner.

Maurice était à cette époque éperdument amoureux d’une marquise