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la manie de faire baiser leur enfant morveux. »

Lazare le tira par le bras, et poussant la porte d’un galetas rempli de bûches, il avança en appelant : « Nise ! où se sera-t-elle fourrée ? Denise ! Nisette ! où es-tu donc ? »

Et il se mit à chercher dans tous les coins. Il eut bientôt découvert l’enfant derrière un tas de bois.

« La voilà ! dit-il doucement. Venez, monsieur, venez voir comme elle s’amuse tranquillement, la pauvre innocente. »

Le vieux matelot était debout devant une ouverture que présentait le rempart de bûches où sa fille était