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lait prendre Dieu seul pour époux.

Cette manière d’envisager la résolution de Rose déplut à Horace. Il y trouva quelque chose d’étroit qui blessait sa raison et peut-être son amour-propre. Il devint plus froid encore, et lorsqu’il fut sorti, Rose ne l’aimait plus.

« C’est singulier, dit-elle, je l’avais vu plus beau que cela. Il m’avait semblé plus grand de toute la tête. »

Pour lui, il s’étonnait de la trouver extérieurement si supérieure à sa destinée. « Mais elle n’a pas d’âme, pensa-t-il. Elle est née froide, et sa vertu n’est qu’une organisation par-