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charité, les prêtres et les administrateurs d’hôpitaux, c’était la lui présenter sous les auspices les plus favorables et avec les meilleures recommandations. Il fit donc part de son dessein à la sœur Olympie, et lui raconta de Rose ce qu’il crut propre à lui conquérir sa bienveillance. La religieuse avait déjà entendu citer mademoiselle Cazalès pour une âme excellente ; on la bénissait à l’hospice de Tarbes. Elle n’hésita donc pas à se charger de la protégée d’Horace, et il ne s’agissait plus que de prévenir celle-ci.

Cazalès monta à la chambre où il l’avait laissée. Il frappa doucement ;