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Je tiens aussi à voir la distribution, qui n’est pas faite, que je sache. Le portrait que vous m’envoyez est très beau, et, si la personne a du talent, c’est bien la femme qu’il faut. Le général, qui ? Le grand-père, on me propose quelqu’un que je ne connais pas et on me refuse Clerh, dont je ne doute pas. Pour le reste, je ne sais rien.
Donc, à dimanche. Vous me trouverez chez moi à cinq heures et demie. Puis-je espérer vous emmener dîner chez Magny ?
À vous de cœur, cher bon ami. Lolo vous rend sa confiance. Amitiés de tous.
Pierre pourra-t-il lire ? Tâchez qu’on ne lise pas au foyer des acteurs : on y attrape la mort.
DCCCLXXVII
À M. JULES CLARETIE, À PARIS
Nohant, 20 novembre 1872.
Cher monsieur,
Malgré ma bonne volonté, je ne vois pour moi aucun moyen de tenir ma promesse[1]. Je voulais
- ↑ Il s’agissait d’un article qui lui avait été demandé par le Comité de la Société des gens de lettres pour l’Obole des conteurs, volume destiné à être vendu au profit des Alsaciens-Lorrains.