Veoyant la Foy des fideles enraige,
Le vray Enfant est hay du Bastard,
Qui nulle part pretend en l’heritaige.
Paraphrase du Pseaulme
120.
(Voir [|Psaume 121 (120)].)
Lors que je suis en tribulation,
Vers le Seigneur je prends droict mon recours.
Je croy en luy , et sans dilation,
Par sa bonté il me donne secours.
Ò Seigneur Dieu, delivre ma paouvre Ame
De l'homme double, en ses dictz cauteleux.
Qui a sa bouche en mensonges infame,
Et est en tous ses pensers frauduleux.
Que te pourrà aulcun donner ou rendre,
Ou adjouxter par langue franduleuse : (Possible erreur de l'imprimeur entre "franduleuse" et "frauduleuse".)
Qui ne cessà jamais trahison tendre
Par sa façon maligne et cauteleuse ?
Ce sont ( Seigneur ) des sagettes volantes,
Sagettes ( dys je ) et roiddes et aigues.
Et d’un ardeur, de soy tant penetrantes,
Comm charbons ardentz dans les mains nues.