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PETERMANN.

Je regrette, je regrette.


Scène VII

ERNESTINE, CHOUFLEURI, puis BABYLAS.
CHOUFLEURI.

Et maintenant, dis-moi vite, ma fille, quel est ton moyen ?

ERNESTINE.

C’est très-simple, regardez, et ne bougez pas.

TRIO.

Ernestine se met au piano. — Elle joue l’air de Robert : Nonnes qui reposez sous cette froide pierre. Le basson répond au dehors par l’air de la Dame blanche : J’arrive en galant paladin, et Babylas parait à la fenêtre.

BABYLAS.
––––––J’arrive en galant paladin !
CHOUFLEURI.
––––––Quel est ce muscadin ?
BABYLAS, à part.
––––––––––O ciel ! le père !
CHOUFLEURI.
––––––Ernestine, tu me diras,
––––––Tu m’apprendras…
ERNESTINE.
––Je ne vous dirai rien, papa, c’est un mystère !