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DES DEUX PREMIERS VOLUMES.

Ceste gentille et belle créature "■ H7
C’estoit assez que ma débile iorce • «»
C’est trop peu dit, ami, que je vous U> io^
Ce vert laurier je consacre et •
Chacun avoit pitié, frayeur et • *
Chastelus donne à desjeuner. •••••/•.• ’ J 5
Comme le mal après un grand p]u»ir i- 9
Comme l’esprit en un corps. ... . . • • g
Contentez-vous, heureuses vmlettes U. i*°
De bonne estime estes si bien ^ ^
De moins que rien ’",’t'J* irais
De moy, qui tout vostre me sens. (Les U o/s ^ ^
De tant de maux qu’en amour • /
De tant de peine endurée..... ; * >g
De veoirmafin.j’ay eu cent fois... ...-•. "• 9
Dieu tout-puissant délivra. (Le Jour de Fas-^ ^ ^
DonléL’fuVtdeVbieux^^na^Hce.) I. "4
D’où vient la peur qui sans fin • w
D’un seul dizain la perte est bien "• ^
Elle a voulu serviteur me nommer "• /y
Elle dira que je l’ay mérité.. .. ; • .J
En bonne foy c’est grand pèche - " •
Enfant qui n’espargnes les Dieux. ... . . . .. "- 7
Entre les biens dont le ciel favorable. (Au ^ ^
Roy.) : TI ’ ,30
En un jardin après longue oraison. ...... • • ^
Espoir n’alieu quand le contentement.... J, ii°
Estant icy tout seul à la f enestre ... v ..... f "• /
Est-il laurier ou palme ? (Le premier Jour ^ 3
Est-il point vray ou si je l’ay songe. . ..... U. 293
Fortune et moy et le roy.(S«r^^^ ; )- I- 94
Gloire et regret des poètes. (A Cl. Marot.) U. i3i
Grand est le mal dont la personne "•
Ha lie grand tort, amy, que vous "•
Ha ! petit chien que tu as. • ^
Heures que j’ay soigneusement
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T. II.