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ses fesses, et Victoire gamahuchait la charmante fille de Moldane, qui, par sa position, présentait son cul à baiser au maître ingénieux de ces voluptueuses orgies. Nous déchargeâmes encore tous pour la septième fois. Un goûter somptueux fut servi ; et nos forces rendues, nous essayâmes encore quelques attitudes.

Moldane voulut nous réunir tous sur lui ; il encula sa fille, son fils le foutit, il gamahuchait Victoire, je suçais ses couilles. Des cris plus douloureux que lascifs annoncèrent sa défaite ; il déchargea le sang : on fut obligé de l’emporter. Mon ami, me dit-il en sortant, je te laisse le maître de tout ; si, plus heureux que moi, la nature t’accorde de nouvelles forces, achèves de les perdre avec ces trois charmantes créatures : tu me conteras demain tes plaisirs. Victoire me faisait encore bandailler ; j’étais moins rassasié d’elle que des autres ; je l’enculai, foutu par Sulpice, et baisant le trou du cul de Joséphine : j’en restai là ; j’étais excédé.

Dès que le foutre revint bouillonner dans mes veines, je caressai mes anciens projets. Pardieu, me dis-je, je ne me serais jamais attendu à rencontrer un pareil père. De long-