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où ses résistances me mettent, je l’injurie, je la menace, je la déprise ; elle est enculée jusqu’aux gardes ; je l’aurais assommée plutôt que de lui faire grace ; il me fallait son cul ou sa vie : attends-moi, Sulpice, m’écriai-je, ne déchargeons qu’ensemble, mon ami, inondons-là de toutes parts ; je voudrais, pendant qu’elle fout ainsi, qu’elle en eut un autre dans la bouche, afin de se mieux pénétrer du plaisir incroyable d’être inondée de sperme dans toutes les parties de son corps. Mais Sulpice qui, malgré les douleurs de Joséphine, la voit décharger dans ses bras, Sulpice ne peut plus se tenir, il perd son foutre, je l’imite, et nous voilà tous les trois heureux.

De nouvelles scènes recommencent bientôt ; le pucelage que je desire est pris ; je n’y attache plus de mérite ; j’abandonne à Sulpice la rose effeuillée ; je lui fais enculer Joséphine, et conduis moi-même l’outil, afin qu’il ne s’égare pas ; je lui rends ce qu’il fait à sa sœur, et nous voilà tous trois à foutre en cul comme de vrais enfans de Sodome ; nous déchargeons deux fois sans quitter la posture, lorsqu’une manie ridicule de con vient s’emparer de mes sens. Je supposais celui de Joséphine très-étroit ; il n’avait ja-