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anus, comme dans un étau, se sent prêt d’élancer son foutre ; il saisit les tetons en dessous, avec une telle violence, les douleurs deviennent si cuisantes, que le coquin décharge en jetant les hauts-cris : il se retire, et me jetant sur cette charmante femme, j’en jouis à mon tour, en mourant de plaisir. Cette scène ranime Noirceuil ; bandant encore, il veut s’y joindre ; par mon attitude, mes fesses lui sont présentées, il les baise, et mettant son vit dans la bouche de Valrose, il lui ordonne de le sucer ; le premier mouvement en est un d’horreur, le second un de désobéissance. Quel grouppe ! J’étais couchée sur Valrose ; Noirceuil en sens contraire, l’était également sur moi ; il s’excitait dans la bouche de cette jolie petite femme, et venait gamahucher mon cul : je couvris de foutre le con de ma branleuse ; Noirceuil répandit le sien dans sa bouche. Nous nous rajustâmes.

Eh bien ! dit Noirceuil, quand il fut de sang-froid ; voilà l’infidélité commise, balancerez-vous maintenant à sauver votre mari. Eh ! monsieur, cela le sauvera-t-il, dit cette charmante créature, de l’air le plus doux et le plus intéressant ; êtes-vous