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DES LETTRES DE MADAME DE SJ3VIGNÉ. 483

Terribles souffrances que lui causent la fièvre et la goutte, III, i3. Sa tristesse, III, 20 et si, ga. Sa douleur de voir partir ses fils pour la guerre; ses inquiétudes pour eux, III, 4o, 7.Î. Son jugement sur le maréchal de Bellefonds, III, 44. Douleur qu’il ressent de la perte de sa mère, III, 53, -Son goût pour les lettres de Mme de Grignan; son amabilité, III, 73 et 74. Il est content de la relation que Mme de Grignan envoie de son voyage, ill, 86 et 87. Il connaît la tendresse maternelle, III, ior, Sa douleur et sa fermeté en apprenant la mort de l’un de ses fils et la blessure d’un autre, III, 108 et ioq, 118 et 119, lai. La mort du duc de Longueville lui fait éprouver un extrême chagrin, III, 114 et n5, isi. Inquiétude que lui causse la blessure du prince de Marsillac’, III, 128. Il va à Saïnt-BIaur avec Mme de Sévigné, et lui fait des compliments sur le style de Mme de Grignan, lit, 140. Ce qu’il dit de Charles de Sévigné, III, 202. Il dîne à Livry, ÏII, soS et 20G. Il a le goût au-dessous de son esprit, III, 229 et 23p. Son amitié pour Mme de Grignan, III, 264. Son assiduité à Versailles amabilité du Roi pour lui,III, ^83. Il est à Saint-Germain avec Mme de Sévigné, III, 308 et 3oç|. Faveur médiocre dont il jouit, III, 3i6. Portrait qu’il fait du cardinal de Retz, III, 485-488, 5o»(?). Ir pleure en admirant la noblesse de sentiment de Saint– Hilaire à la mort de Turenne, IV, 34.

Il est très-affligé de. cette mort; il est à Chantilly et à ̃ Lïancourt avec son fils, IV, 81. -Il veut emmener Mme de Sévigné à Liancourt et à Chantilly, IV, 5î3. Il dine chez la marquise d’Uxelles, V, 34- -Il doit faire un voyage en Poitou, V, 52. Lieux qu’il visitera; Bïme de Sévigné ne croit pas qu’il ait jamais été véritablement amoureux inquiétudes que lui a causées la maladie de Mme de Coulanges, V, go. Mme de Sévigné le voit à Saiht-Maur, V, ioa. Il a sans doute travaillé à la Princesse de Clèees avec Mnie de la Fayette, V, 429. Un de ses fils obtient une abbaye, V, 5ï3 et 5a4. Ses inquiétudes pour la santé de son petit-fils, VI, 8 et g. Il accommode une querelle, VI, 48, 53. Son désir extrême de’ servir le comte de Grignan, VI, 84. Il fait part à Mme de Sévigné des faveurs extraordinaires dont le Roi vient de combler sou petit-fils, VI, 86. Son obligeance; son désir de dire des choses agréables, VI, 23a. Comment il appelle les menins du Dauphin, VI, 276; ’̃ Ses espérances pour le comte de Grignan, VI, 281. Il est extrêmement malade, et choisit le frère Ange pour le soigner, VI, 807. Il -est près de mourir; sa sérénité sa fermeté n’est pas même ébranlée par l’arrivée du prince de Marsillac, celui de ses enfants qu’il préfère il prend le remède de Tabor, VI, 3og et 3ro. Il a les jambes enflées, VI, 3n. Ses derniers moments; sa mort amitié pleine de confiance et de charme qui l’unis.