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2i8 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

tant qu’elle s’accommodera de Virgile; son frère lui en recommande certains épisodes il la plaisante sur ses lectures philosophiques, V, 229 et 23o. Sa campagne dans l’Iliade, dont elle parle plaisamment, V, 26S. Elle continue V Iliade; elle préfère les fables au poëme épique sa mère pense que la nouvelle traduction de Don Quicltotte lui plaira, V, 296 et 297. Sa mère lui recommande la lecture d’un traité de Nieole, VI, 4r3, 4E7- Elle n’aime pas à lire l’histoire, VI, 4°2i 44* î IX, 41, 367, 372, 4o3, 422. Elle n’aime pas les fomans, IX, 3i5. Elle et sa mère sont loin d’avoir le même goût dans leurs lectures; elles n’en sont pas moins bien ensemble elles sont une nouveauté l’une pour l’autre, VI, 448. Elle a le goût juste et exquis à consulter, VIII, 333 IX, 467. -Elle fait un merveilleux usage des Métamorphoses d’Ovide, VI, 4G8. Sa mère lui recommande la lecture du traité de la Prédestination des saints et dit don de la persévérance, de saint Augustin, VI, 477 et 478, 487 (voyez encore tome V, p. 1 1 1 ). Elle lit saint Paul et saint Augustin, VI, 5t3 VII, 99, 028. Elle n’aime pas les madrigaux, VII, 3i. On lui envoie Esther, VIII, 5ro. Ce qu’elle en a dit, VIII, 53g. Elle en a porté le même jugement que sa mère, IX, n3. Elle aime les Essais de morale et Abbadie, IX, 89. Elle a dit des merveilles des derniers livres de Nicole, IX, 281, 3i5. Guébriac lui fait demander des détails sur la

Cour d’amour. de Provence, IX, 3o8-3io; elle lui envoie une relation intéressante et jolie, IX, 38i-385 (voyez encore p. 465); il lui en est fort reconnaissant, IX, 417, 4^0. Elle n’a jamais lu les Provinciales qu’en courant, et trouve que c’est toujours la même chose si elle les lisait à loisir, elle partagerait sans doute l’admiration de sa mère, IX, 867. Sa mère lui fait réparation sur les Provinciales, et regrette qu’elle n’assiste point aux lectures qui se font aux Rochers, IX, 4o2 et 4o3. Elle permet à Pauline la lecture des Métamorphoses, IX, 418. Elle ne peut lire que cinq ou six ouvrages sublimes, et encore ne peut-elle pas lire deux fois ces livres choisis, IX, 422. Elle est trop occupée et préoccupée pour lire, et sa mère ne l’a tourmentée là-dessus qu’en badinant, IX, 408, 437- Sa mère lui souhaiterait de pouvoir relire, IX, 4^0. Jolis vers qui lui ont été adressés sur les troubadours et la Cour d’amour, IX, 465 (voyez encore IV, 381). Elle approuve la traduction faite par du Bois des deux livres de saint Augustin intitulés de la Véritable religion, et des Mœurs de PÉglUe catholique, IX, 467. Elle est, dit Coulanges, versée dans l’histoire, et instruite des bonnes maisons de France, X, 35o. Elle demande qu’on lui envoie l’opéra de Télémaque, qu’elle désire voir représenter elle parle des motifs qui ont fait composer le Télémaque à Fénelon, et les approuve, X, 507