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habit comme en montant ; je vous retiendrai si vous glissez.

Dérigny

Très bien, mon général ! je vous remercie. »

Natasha le regarda d’un air surpris.

Dérigny, réprimant un sourire.

C’est que, mademoiselle, le général m’a aidé à gravir la montagne ; c’est pourquoi…

Natasha, très surprise.

Mon oncle vous a aidé ?… C’est lui qui vous a aidé !

Dérigny, riant tout à fait.

Demandez plutôt au général, mademoiselle ; il, vous le dira bien. »

Le général, se frottant les mains.

Certainement, Natasha ; certainement. Sans moi, il ne serait jamais arrivé ! Tu vas voir à la descente ; ce sera la même chose. »

Natasha regardait toujours Dérigny, comme pour demander une explication. Il lui fit signe en riant que ce serait pour plus tard. Natasha commença à deviner et sourit.

« Partons, dit le général. Les enfants en avant, Natasha aussi ; Romane devant moi, pour être au centre de la ligne ; Dérigny derrière moi, pour ne pas tomber et pour se retenir à moi. »

Les enfants s’élancèrent en avant. La descente était difficile, escarpée, glissante ; les pierres roulaient sous les pieds ; les rochers formaient des marches élevées ; des trous, semblables à des pré-