habit comme en montant ; je vous retiendrai si vous glissez.
Très bien, mon général ! je vous remercie. »
Natasha le regarda d’un air surpris.
C’est que, mademoiselle, le général m’a aidé à gravir la montagne ; c’est pourquoi…
Mon oncle vous a aidé ?… C’est lui qui vous a aidé !
Demandez plutôt au général, mademoiselle ; il, vous le dira bien. »
Certainement, Natasha ; certainement. Sans moi, il ne serait jamais arrivé ! Tu vas voir à la descente ; ce sera la même chose. »
Natasha regardait toujours Dérigny, comme pour demander une explication. Il lui fit signe en riant que ce serait pour plus tard. Natasha commença à deviner et sourit.
« Partons, dit le général. Les enfants en avant, Natasha aussi ; Romane devant moi, pour être au centre de la ligne ; Dérigny derrière moi, pour ne pas tomber et pour se retenir à moi. »
Les enfants s’élancèrent en avant. La descente était difficile, escarpée, glissante ; les pierres roulaient sous les pieds ; les rochers formaient des marches élevées ; des trous, semblables à des pré-