Page:Ségur - Le général Dourakine.djvu/289

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Ainsi finit Mme Papofski ; un acte de vengeance fut le dernier signal de son existence.

Ses enfants furent ramenés chez eux, où les attendait leur père.

Mme Papofski ne fut regrettée de personne ; sa mort fut l’heure de la délivrance pour ses enfants comme pour ses malheureux domestiques et paysans.