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Mme Dabrovine courut à la recherche de Dérigny, qu’elle trouva heureusement chez lui avec sa femme ; leurs enfants jouaient avec ceux de Mme Dabrovine dans la galerie.


« Que ne puis-je l’étouffer, la hacher en morceaux ! »

Madame Dabrovine

Mon bon Dérigny, venez vite calmer mon pauvre père qui est dans un état affreux ; il craint que ma sœur n’ait reconnu le prince Romane. »

Dérigny suivit précipitamment Mme Dabrovine.