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Et son visage rayonnait ; sa bonne humeur éclatait en dépit de ses efforts.


Le lendemain, même scène.

Le lendemain, même scène ; Mme Dabrovine quitte la table et va s’étendre sur un canapé dans le salon ; le général, quand il reste seul avec Mme Papofski, se plaint de l’ennui que lui donne la santé de sa nièce Dabrovine, et demande conseil à Mme Papofski sur le régime à lui faire suivre.

Madame Papofski

Je crois, mon oncle, que ce que vous pourriez faire de mieux, ce serait de lui faire respirer un air plus doux, plus chaud.

Le général

C’est possible… Oui, je crois que vous avez raison. Je pourrais la faire partir plus tôt avec les Dérigny, et moi je ne les rejoindrais qu’en juillet ou en août aux eaux. »