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en Allemagne ; elle fit quelques objections sur le dérangement, l’ennui que donnerait à son oncle un voyage avec tant de monde.
Le général
Tu peux ajouter à tous les tiens la famille Dérigny que j’emmènerai.
Madame Papofski
Comment, mon oncle, vous vous embarrasserez de tous ces gens-là ?
Ce côté du château vivait donc heureux et tranquille. (Page 188.)
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Le général
Oui, Maria Pétrovna ; comme je compte vous laisser à Gromiline pour faire mes affaires en mon absence, j’aime mieux vous débarrasser d’une famille que vous n’aimez pas ; d’ailleurs ils veulent retourner en France, où ils ont des parents et du bien. »
Les yeux de Mme Papofski brillèrent et s’ouvrirent démesurément ; elle ne pouvait croire à tant de bonheur.
Madame Papofski
Vous me laisseriez… ici…, chez vous… et maîtresse de tout diriger ?