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Pourtant la besogne exigea encore de longs tâtonnements, et le but n’était pas atteint au moment de la bataille du Tez.

En achevant son récit, Louise nous avoua le violent chagrin que lui causait la mort de l’infortuné Yaour, dont le brûlant souvenir ne pouvait manquer de planer sur son existence tout entière.