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Notes manuscrites.

le ciel[1] ; j’en faisais mon bonheur suprême dans ce monde-ci.

11.

Je ne trouve pas de plus doux hommage à la Divinité que l’admiration muette qu’excite la contemplation de ses œuvres. Je ne puis comprendre comment des campagnards, et surtout des solitaires peuvent ne pas avoir de foi ; comment leur âme ne s’élève pas cent

  1. Première leçon du manuscrit, raturée par l’auteur : « Vivre sans gêne dans un commerce éternel avec des bienheureux dans le ciel, etc. »