Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/79

Cette page n’a pas encore été corrigée


 
O patrie ! ô doux nom que l’exil fait comprendre !
(C. DELAVIGNE.)

Le rivage natal est un si doux lien !
Pourquoi si tout ici surpasse notre envie
De relais en relais tourmenter une vie ?
      Pourquoi changer quand on est bien ?
(MÉRV.)







Un jour tu reviendras, soucieux exilé,
Par le soleil des mers encore tout hâlé,
Portant du voyageur le sceau sur ton visage :
Oh ! quand tu reverras, après un long voyage,