Page:Rosny aîné - La Mort de la Terre - Contes, Plon, 1912.djvu/283

Cette page a été validée par deux contributeurs.
269
LE VIEUX BIFFIN

C’est pourtant vrai que la vie est étrange jusqu’à en être fabuleuse. Il est déjà singulier de songer que le crochet du pauvre bougre a trimé durant tant de nuits pour sauver un inventeur ; mais combien plus singulier encore que sa patiente épargne ait servi à révolutionner l’exploitation des mines d’or, d’argent et de cuivre !