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Le: 7m d'aomechl dir,que toute: le: chofès par lef— 'quelles on peut preuoir ce qui cl! a venir,lui predifen: qu‘a la f‍in il obtiendra de fa dame , ce qu’il def‍ire. Lu ver: d'aumm. C‘était vne‘chofe vf‍irée au: anciens d’ouun‘r vn Homere,ou vn Verèilewu'mtre tel poëze a l‘au:nrure,& des vers qu‘ils rencôtr'oienga cemfor- tuite ouuerture , colliger les chofes quireng deuoient auenîr . Les exemples en l'on: af‍lZs &equef‍ii‘m hi. f‍loires. Cr: ’viem Barbu.“ entend cens. qui ï " - men: {ont apelc’s Bohemicm. Vnmfœl‘c, 'aWch Fa— mour.Vous qui ef‍le: &ule.de laquelle la vois, peut l'er— uir de certain oracle a mon amour.

Un sot Vulcan ma Cyprine fâchoit,
Mais elle à part, qui son courrous ne cele,
L'un de ses yeus arma d'une estincelle,
De l'autre un lac sur sa jouë espanchoit.

Tandis Amour, qui petit se cachoit
Folatrement dans le sein de la belle,
En l'oeil humide aloit baignant son aele,
Puis en l'ardent ses plumes il sechoit.

Ainsi voit on quelquefois en un tans,
Rire & pleurer le soleil du printans,
Quand une nuë à demi traverse.

L'un dans les miens darda tant de liqueur,
Et l'autre apres tant de flames au coeur,
Que pleurs & feus depuis l'heure je verse.

M V R E .

Vnf‍ir Vulmn.)ll decrit la côtenäcc de fa dame étant fachée pourl'occaf‍ion que i’;i tonchée au Soner, quife commence, .1» plut p1» and. Jinf‍i voiron. Compa— çaifbn prinfe de l’Ariof‍le,parlantd'Olympie!