Page:Rollinat - Les Névroses (Fasquelle 1917).djvu/322

Cette page a été validée par deux contributeurs.

 
De sarcasme et d’horreur y venait adhérer
Quand elles se mettaient à me considérer,
Ces infernales dents, ces adorables niques
Qui se faisaient un jeu de paraître ironiques,
Dont le regard était morsure, et qui le soir
Avaient le froid sinistre et coupant du rasoir.