Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/34

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Amour ! enfant des dieux ! je t’attendais ; demeure.
Mon logis était vide et j’espérais en vain !
Aussi, vois, je souris en ma triste demeure,
Je décore ses murs pour te garder enfin !

Ah ! que tout semble beau ! qu’il est heureux de vivre
Alors qu’on aperçoit ici-bas le bonheur !
Eros avec sa flèche appelle ; il faut le suivre,
Le soleil de ce jour emplit d’aise mon cœur.