Page:Riversdale - Échos et reflets, 1903.djvu/93

Cette page a été validée par deux contributeurs.

La Dryade


La Dryade se berce au rythme des feuillages.
L’or vert de ses cheveux palpite dans le vent,
Et la préciosité de l’avril décevant
Emplit de floraisons fragiles les bocages.

La Dryade se berce au rythme des feuillages.