Page:Riversdale - Échos et reflets, 1903.djvu/56

Cette page a été validée par deux contributeurs.


L’âme grave en qui sourd le sanglot du désir
Et qui sait l’anxiété lourde de choisir,
Recèle le poison des coupes de Locuste.

Le fondu vespéral apaise les couleurs
Et s’attarde, pareil aux regrets, sur l’arbuste
Qui porte altièrement les fruits blonds et les fleurs.